Ce document propose un plan pour moderniser encore davantage le monde du football, le rendre plus inclusif et tout faire pour qu’un jour, une cinquantaine d’équipes nationales et une cinquantaine de clubs de tous les continents évoluent au plus haut niveau. Cette vision a donc pour objectif de rendre le football véritablement mondial.
BRÉSIL
"On ne peut pas survivre très longtemps dans un pays qui compte 200 millions de sélectionneurs", estime Luiz Felipe Scolari, lorsqu’on l'interroge sur un poste que beaucoup considèrent comme le plus exigeant de la planète football.
Une seule personne a tenu plus de cinq ans à la barre de la Seleçao, Flavio Costa, resté aux commandes entre 1944 et 1950. Auteur de performances remarquables depuis sa nomination, Tite semble bien parti pour faire beaucoup mieux. Le Brésil a remporté 38 des 52 matches disputés sous ses ordres, pour seulement quatre défaites. Il reste sur 21 matches d’invincibilité en qualifications pour la Coupe du Monde de la FIFA™, dont 16 victoires.
Tite répond aux questions de FIFA.com pour évoquer les chocs à venir contre la Colombie et l’Argentine, Diego Maradona, Neymar, Philippe Coutinho et Alisson, son admiration pour l’Italie de Roberto Mancini et Kevin De Bruyne, mais aussi son année sabbatique passée à approfondir sa vision du football.
"On ne peut pas survivre très longtemps dans un pays qui compte 200 millions de sélectionneurs", estime Luiz Felipe Scolari, lorsqu’on l'interroge sur un poste que beaucoup considèrent comme le plus exigeant de la planète football.
Une seule personne a tenu plus de cinq ans à la barre de la Seleçao, Flavio Costa, resté aux commandes entre 1944 et 1950. Auteur de performances remarquables depuis sa nomination, Tite semble bien parti pour faire beaucoup mieux. Le Brésil a remporté 38 des 52 matches disputés sous ses ordres, pour seulement quatre défaites. Il reste sur 21 matches d’invincibilité en qualifications pour la Coupe du Monde de la FIFA™, dont 16 victoires.
Tite répond aux questions de FIFA.com pour évoquer les chocs à venir contre la Colombie et l’Argentine, Diego Maradona, Neymar, Philippe Coutinho et Alisson, son admiration pour l’Italie de Roberto Mancini et Kevin De Bruyne, mais aussi son année sabbatique passée à approfondir sa vision du football.
Les Argentins comptent dans leurs rangs d’excellentes individualités. Au-delà des qualifications, pour moi, un duel entre le Brésil et l’Argentine est déjà une compétition en soi.
BELGIQUE
"Ne me dis pas quel est le problème ; dis-moi comment tu t’y prendrais pour le résoudre."
Avec le recul, Roberto Martinez mesure aujourd’hui à quel point ces paroles de son père, ancien joueur et entraîneur, ont influencé sa vie et sa carrière. Passionné de football, il n’a eu de cesse de demander à son fils de résoudre toutes sortes de problème dès l’âge de neuf ans.
À 47 ans, le sélectionneur et directeur technique de l’équipe qui occupe la première place du Classement mondial reste soumis aux mêmes interrogatoires, menés par le plus exigeant des mentors.
L’ancien entraîneur d’Everton se réjouit toujours à l’idée de discuter avec la personne qui lui a fait voir le football "non pas comme un simple sport, mais comme un art de vivre". Aujourd'hui, Martinez fait partie du cercle des meilleurs techniciens au monde, qui savent résoudre les problèmes auxquels leur équipe est confrontée.
Sous son impulsion, la Belgique a récemment signé sa meilleure performance en Coupe du Monde de la FIFA™. Depuis trois ans, elle défend sa place en tête du Classement mondial FIFA/Coca-Cola. Il ne manque plus qu’un titre aux Diables Rouges pour valider le travail réalisé ces dernières années. Dans un entretien accordé à FIFA.com, l’homme en charge de la "génération dorée" nous fait part de son enthousiasme à l’idée de relever ce défi.
"Ne me dis pas quel est le problème ; dis-moi comment tu t’y prendrais pour le résoudre."
Avec le recul, Roberto Martinez mesure aujourd’hui à quel point ces paroles de son père, ancien joueur et entraîneur, ont influencé sa vie et sa carrière. Passionné de football, il n’a eu de cesse de demander à son fils de résoudre toutes sortes de problème dès l’âge de neuf ans.
À 47 ans, le sélectionneur et directeur technique de l’équipe qui occupe la première place du Classement mondial reste soumis aux mêmes interrogatoires, menés par le plus exigeant des mentors.
L’ancien entraîneur d’Everton se réjouit toujours à l’idée de discuter avec la personne qui lui a fait voir le football "non pas comme un simple sport, mais comme un art de vivre". Aujourd'hui, Martinez fait partie du cercle des meilleurs techniciens au monde, qui savent résoudre les problèmes auxquels leur équipe est confrontée.
Sous son impulsion, la Belgique a récemment signé sa meilleure performance en Coupe du Monde de la FIFA™. Depuis trois ans, elle défend sa place en tête du Classement mondial FIFA/Coca-Cola. Il ne manque plus qu’un titre aux Diables Rouges pour valider le travail réalisé ces dernières années. Dans un entretien accordé à FIFA.com, l’homme en charge de la "génération dorée" nous fait part de son enthousiasme à l’idée de relever ce défi.
Mon statut d’étranger m’a bien servi. Quand j’ai dû prendre des décisions difficiles, tout le monde a tout de suite compris que j’agissais pour le bien de l’équipe.
TOKYO 2020
L’équipe nationale féminine des États-Unis est la meilleure au monde et elle le sait. Samantha Mewis, elle, a une raison de plus de rouler les mécaniques : elle vient d’être élue Joueuse américaine de l’année. Elle s’est également montrée excellente à Manchester City où elle venue allonger la liste de stars américaines en WSL anglaise. Le sélectionneur Vlatko Andonovski décrit sa milieu de terrain comme "l’illustration parfaite de ce qu’incarne l’équipe nationale américaine".
Pourtant, Mewis ne transpire la confiance. Elle ne fait pas dans la fausse modestie lorsqu’elle affirme "espérer être appelée pour le prochain stage" de l’équipe nationale ou quand elle déclarait, avant la finale de la Coupe du Monde Féminine de la FIFA, France 2019™, "ne pas vouloir être la raison pour laquelle on ne va pas gagner". C’est la discrétion, voire la timidité, qui a modelé sa carrière.
En revanche, la détermination de la joueuse de 28 ans à ne jamais stagner est criante. Ce dévouement envers son développement personnel a permis à Mewis d’oublier sa non-sélection à Canada 2015 pour décrocher sa première sélection en 2019 avant de devenir "la meilleure joueuse de notre équipe", selon les dires de Megan Rapinoe.
Une blessure à la cheville, contractée après avoir marqué un triplé contre la Colombie en janvier, empêchera Mewis de disputer la SheBelieves Cup. Elle soutiendra cependant ses coéquipières et en particulier sa sœur Kristie, et espère décrocher l’or au Tournoi Olympique de Football féminin.
L’équipe nationale féminine des États-Unis est la meilleure au monde et elle le sait. Samantha Mewis, elle, a une raison de plus de rouler les mécaniques : elle vient d’être élue Joueuse américaine de l’année. Elle s’est également montrée excellente à Manchester City où elle venue allonger la liste de stars américaines en WSL anglaise. Le sélectionneur Vlatko Andonovski décrit sa milieu de terrain comme "l’illustration parfaite de ce qu’incarne l’équipe nationale américaine".
Pourtant, Mewis ne transpire la confiance. Elle ne fait pas dans la fausse modestie lorsqu’elle affirme "espérer être appelée pour le prochain stage" de l’équipe nationale ou quand elle déclarait, avant la finale de la Coupe du Monde Féminine de la FIFA, France 2019™, "ne pas vouloir être la raison pour laquelle on ne va pas gagner". C’est la discrétion, voire la timidité, qui a modelé sa carrière.
En revanche, la détermination de la joueuse de 28 ans à ne jamais stagner est criante. Ce dévouement envers son développement personnel a permis à Mewis d’oublier sa non-sélection à Canada 2015 pour décrocher sa première sélection en 2019 avant de devenir "la meilleure joueuse de notre équipe", selon les dires de Megan Rapinoe.
Une blessure à la cheville, contractée après avoir marqué un triplé contre la Colombie en janvier, empêchera Mewis de disputer la SheBelieves Cup. Elle soutiendra cependant ses coéquipières et en particulier sa sœur Kristie, et espère décrocher l’or au Tournoi Olympique de Football féminin.
Quand je suis dans cette équipe, il y a toujours une petite voix qui me dit : "Je dois continuer à travailler et à progresser parce que dès que j’arrêterai, quelqu’un va me doubler".
Afrique en vedette, statu quo en tête
DécouvrezMalte à la fête, USA en tête
DécouvrezEn tant que sport planétaire numéro un, le football a cette capacité unique de soutenir des initiatives qui permettent d’améliorer la vie des jeunes du monde entier.